Convergence(s) pour l’Éducation Nouvelle : les perspectives pour la Biennale2024.

Préambule : la Biennale Internationale de l’Éducation Nouvelle fait partie intégrante du projet politique de Convergence(s) pour l’Éducation Nouvelle et devient l’évènement marquant, le grand rendez-vous des organisations membres.

Nous envisageons une Biennale qui s’articulerait autour de 4 axes :

  • Une Biennale qui permette de mieux diffuser les idées et les pratiques de l’Éducation Nouvelle afin de sortir de l’entre-soi. Pour cela nous proposons d’identifier 3 ou 4 enjeux majeurs, mis au travail dès 2023 au sein des organisations membres de Convergences afin que les échanges lors de la Biennale s’appuient sur les travaux permettant in fine la production d’une communication externe (en fin de Biennale).
  • Une mise en débat, pouvant également débuter dès 2023 entre les organisations des Convergence(s) locales, qui permette d’identifier jusqu’où vont les consensus entre mouvements, sur quels points existe-t-il des désaccords et/ou des tensions, quelles sont nos « indignations » ?
    • Un renforcement de la dimension internationale en proposant des échanges pour mieux comprendre comment se construisent les débats, les tensions selon les pays : Montessori, Freinet, Korczak, … ne sont pas appréhendés de la même façon suivant que l’on est en Italie, en France, en Pologne, au Sénégal, au Québec, etc.
  • Un renforcement de la dimension internationale en proposant des échanges pour mieux comprendre comment se construisent les débats, les tensions selon les pays : Montessori, Freinet, Korczak, … ne sont pas appréhendés de la même façon suivant que l’on est en Italie, en France, en Pologne, au Sénégal, au Québec, etc.
  • Le passage des « ateliers de témoignage de pratiques » aux « rencontres avec »
    (terme provisoire) afin de clarifier ce qui est présenté tout en élargissant le spectre des possibles. Il s’agira en outre d’entendre la demande des participants souhaitant des relations accrues avec les chercheurs : mouvements pédagogiques et chercheurs : mieux se connaître et travailler ensemble. Pour cela nous envisageons 4 catégories de « rencontres avec » : présentation de pratiques – échange de pratiques – expérimentation de pratiques – présentation de recherches diverses en insistant sur le « comment sont construits les résultats de la recherche ».

Nous avons par ailleurs réaffirmé que le Manifeste est, doit être, un élément vivant. Au-delà des travaux d’appropriation qui peuvent s’engager ici ou là, peuvent aussi s’enclencher des travaux d’écriture pour compléter, enrichir, donner des exemples concrets de mise en pratique … La biennale pourrait alors devenir l’un de ces lieux.

D’un point de vue organisationnel :

  • La Biennale pourrait s’étaler sur 4 jours au lieu de 3. Il ne s’agira pas d’ajouter du contenu mais d’aérer la grille pour répondre à la question du « temps pour soi ».
  • La prochaine Biennale 2024 aura lieu en France (Nantes) sur la même période (les dates définitives seront connues avant l’été), celle de 2026 hors Europe (Tunisie) ou en Roumanie. Nous décidons de stabiliser cette alternance : 2028 en France, 2030 ailleurs.
Le projet global concernant Convergence(s) pour l’Éducation Nouvelle est accessible sur le site de https://convergences-educnouv.org/

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